Kimi Djabaté se sert des blessures de son enfance pour diffuser un message d’espoir.

L’amour, la joie et le militantisme sont au centre de Dindin, le nouvel album à paraître le 24 février. Un subtil mélange de rythmes afro-portugais et afrobeat, de blues électrique, avec un soupçon de swing afro-latin.

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Le 12 janvier 2023 – Originaire de Guinée-Bissau, Kimi Djabaté est l’un des musiciens les plus doués d’Afrique. Ce guitariste, percussionniste et joueur de balafón (un xylophone africain), a accompagné des artistes tels que Mory KantéWaldemar Bastos, Netos de Gumbé et plus récemment, Madonna, sur sa pièce Ciao Bella.

Sur son nouvel album, Dindin, le multi-instrumentiste perpétue les coutumes de ses racines griot en abordant les thèmes complexes de la vie dans une Afrique moderne. L’album est un subtil mélange de rythmes afro-portugais et afrobeat, de blues électrique avec même un soupçon de swing afro-latin. Un album très personnel, renfermant des chansons intimes dédiées à sa famille et à ses amis, mais aussi résolument universel, abordant des thèmes comme l’amour, la communication et les rapports humains.

Dindin, qui veut dire « enfants » en mandinka, est un album qui aborde les thèmes de la situation sociale et politique en Afrique, la religion, les droits des femmes, la pauvreté et l’éducation, mais avec nuance et délicatesse. Malgré des thèmes difficiles, Djabaté demeure un éternel optimiste, créant une musique remplie d’espoir pour les Africains.

Kimi Djabaté se sert des blessures qu’il a subies à l’enfance pour diffuser des messages positifs et d’espoir. Obligé par sa famille de chanter et danser contre son gré afin de rapporter un peu d’argent, Kimi n’a pas été en mesure de s’amuser avec insouciance comme les enfants de son âge, un sujet qu’il aborde dans la pièce titre : « N’exploitez pas les enfants / Aidez les enfants à devenir de meilleurs humains / N’exploitez pas les enfants / Donnez-leur une éducation ».

Le thème de la justice est le fil conducteur de l’album. Par exemple, dans la pièce Omanhe (« Quelque chose de mal »), le musicien se rappelle la première fois où il a été témoin d’un mariage forcé. Il était alors un jeune musicien et a demandé à sa mère pourquoi la mariée pleurait. Quand sa mère la sommé de jouer de la musique au lieu de poser des questions, Djabaté a compris que le chant avait un plus grand impact que le simple fait de parler.

Visionnez le clip pour la pièce Alidonke ici
Visionnez le clip pour la pièce Dindin ici

Dindin, de Kimi Djabaté
Disponible partout en magasin et en ligne le 24 février chez Cumbancha.

Pour informations et demandes d’entrevues :
Philippe Georgiades, 514-458-2083 / tambourettrompettes@gmail.com